Bonjouuuur, alors voilà j'écris une fanfictions en 3 tomes sur mon ship de fou que je ne donnerai pas mais que vous comprendrai au fur et à mesure de la lecture tu premier tome. Donc je vais poster le tome 1, et selon vos réactions le tome 2 et puis le tome 3 petit à petit car il est en court d'écriture. Voilàààà, bonne lecture
(je suis ouverte aux avis critiques et constructifs)
Je m’appelle Ariel. Je suis une sirène. Je suis là pour vous raconter une histoire. Mon histoire. Ca fait maintenant partie de moi.
Elle allait me tuer. Elle me détestait et allait me tuer. Mais il m’a aidé. Il est gravé dans mon âme à jamais.
Un soir, j’étais mal. Très mal. J’allais me livrer à elle. Je ne voulais même plus vivre. Mais, un homme apparut derrière moi. Oui, un homme dans l’eau. Je n’en avais jamais vus un dans mon royaume sous les mers. Celui-là était… particulier. Il avait une peau verdâtre et… je ne saurais pas le décrire correctement. Ce que je pouvais savoir était qu’il était un sorcier. A l’œil nu, on devinait qu’il pratiquait la magie noire. Je sus même plus tard que c’était le Ténébreux. Il s’appelait d’un nom vraiment pas commun. Rumplestiltkin. Cet homme a changé ma vie et a bouleversé celle de l’homme qui m’a aidé. Le Ténébreux avait une voix aiguë. Il roulait ses « r ». En parlant, il me fit sursauter.
- Perdue, Dearie ? Il avait visiblement l’accent écossais.
Je me retournai et regarda l’homme derrière moi. Il souriait légèrement.
- Qui êtes-vous ? avais-je demandé.
- Je suis Rumplestilskin. Pour vous servir, your Majesty. Me dit-il en s’inclinant gracieusement.
- Je viens te sauver, Princesse. Quel est ton rêve ?
Je réfléchis, j’avais tellement de rêves… Mais mon plus grand rêve était certainement d’avoir des jambes. Ma queue de poisson et mes écailles ne me suffisaient plus bien avant cela. Je rêvais d’aller voir ces hommes qui voguaient sur les mers avec leur bateau. J’avais entendus parler de ces pirates. Je voulais faire partie de ces pirates. Voilà, mon rêve le plus cher était de devenir pirate.
Rumplestilskin me regarda. Il avait comprit. Je ne savais pas comment, mais il avait lût en moi. Il sourit. Il faisait des gestes exagérés en parlant.
- Je peux réaliser ton rêve, Dearie.
- Quel est ton prix ? avais-je lancé.
- Je n’en ai pas.
Je le regardai, encore plus méfiante. Je n’ai jamais sus et je ne sais toujours pas pourquoi il n’en avait pas. Je savais pourtant que toute magie avait un prix. Mais j’étais prête à tout pour aller dans cet autre monde. Où les gens pouvaient marcher, courir, danser… J’étais prête à tout pour approcher de plus près cet homme qui m’obsédait depuis que je l’avais aperçu le premier soir où je suis montée à la surface.
- Comment ? lui demandais-je.
- Montes en dehors de l’eau, bois ça. (Il sortit un objet de sa poche.) Et hop ! Tu auras de belles jambes toutes neuves.
Je regardai longuement ce qui était en face de moi. Je souris lentement et hocha la tète.
- Merci.
- Ne me remercie pas, Dearie.
Il me donna une fiole ovale qui contenait un liquide bleu. C’était une potion qui brillait. Le Ténébreux disparût.
Je regardais alors autour de moi pour vérifier que personne ne me suivait. Je nageai rapidement jusqu’en haut. Je pris une grande inspiration de l’air de la mer ; les sirènes ne savent pas respirer l’air sec en dehors de l’eau. Je sortis ma tête à l’extérieur. Il y avait un port pas trop loin de là. Je souris en me rendant compte que c’était un port de pirates. Je me mis alors à nager vers la côte. J’avais du mal à respire. Je me souviendrais toute ma vie de la sensation qui m’a envahie quand mes mains ont touchés le sable chaud et sec pour la première fois. J’ouvris difficilement la fiole en la décapsulant avec mes dents, l’autre main posée sur mon cœur qui battait trop vite à cause du manque d’air. Je bus à toute vitesse le flacon que je jetai ensuite sur le sable. Je vis une brume violette m’entourer. La brume ne mit pas trop de temps à disparaître. J’avais des jambes. J’avais de longues et belles jambes. Mais mes jambes étaient nues. Je savais que les humains se couvraient de haut en bas. Mes seins aussi étaient nus. J’en fus gênée. Je ne savais absolument pas comment faire. Je repliai difficilement mes jambes contre moi, écrasant ma poitrine et cachant ainsi toutes les parties de mon corps qui n’avaient pas à être visibles. J’eus froid. Je tremblai et regarda autour de moi. Espérant quelque chose. Je ne savais pas quoi. Mais j’espérais.
Je me réveillai. J’étais dans un endroit que je ne connaissais pas. J’ouvris lentement les yeux. J’étais dans un lit. Sous une… sous plusieurs couches de draps. Je remarquai au bout de deux minutes que j’étais habillée. Un pantalon en cuir marron, une chemise bouffante blanche. J’avais mes cheveux roux pour la première fois de ma vie secs. J’étais habillée, oui. En pirate. Je voulais savoir où j’étais et pourquoi. Je voulais savoir qui m’avait mit là. Je retirai les draps et m’assit lentement sur ce grand lit. La pièce basculait Les murs, les meubles, le sol… tout était en bois. Je ne pensais pas que marcher allait être aussi difficile. Je posai un pied par terre. Puis, le second. Je me levai. Je me tins au bois du mur pour ne pas tomber. Je lâchai le mur. Je tenais debout. Je mis un pied devant l’autre. J’avançai d’un pas. Je souriais. J’y arrivais. J’essayai de faire un deuxième pas. Un troisième. Je tombai dans un bruit sourd. La porte s’ouvrit vite et presque brutalement. Je vis un homme que j’avais déjà vu. Un homme qui me possédait depuis la toute première fois que je l’avais vu. Mon cœur se mit à battre à cent à l’heure. Il était grand, avait des yeux bleu clair… ses cheveux noirs… Il était merveilleux. J’eus ç peine le temps de remarquer qu’à la place d’une de ses main, il avait un crochet qu’il me tendait déjà sa main pour m’aider à me relever. Je le regardais.
- Je… ne sais pas marcher…
Il sourit légèrement. Un sourire qui restera gravé dans mon cœur, ma tête et mon âme. Il se baissa et me porta. Je ne comprenais plus rien. Il me posa et m’assit sur le lit. Il s’assit à côté de moi.
- Qui êtes-vous ? me demanda t-il.
- Je m’appelle Ariel… et… vous ?
J’étais mal. Persuadée d’être toute rouge à cause de ses yeux qui me faisaient fondre sur place.
- Je suis Killian Jones. Capitaine Killian Jones. Me répondit-il.
Je souris et hocha doucement la tête. J’étais hypnotisée. Je ne savais pas quoi dire, cet homme m’avait vu nue, habillé, couvert et mit dans son lit. C’était plutôt humiliant. Il me regarda, il semblait intrigué.
- Que faisiez-vous là-bas, sur cette plage et nue ?
- Je viens de me transformer. En humaine.
Il inclina la tête mais n’avait pas l’air trop surprit. Il décida de me tutoyer, je fis alors de même.
- Laisses-moi deviner, ma belle… Sirène, hein ?
- Je suis la fille du roi Triton. Avais-je dis pour toute réponse.
Il sourit légèrement. Il prit ma main et l’embrassa doucement. Je ne pus m’empêcher de sourire bêtement en baissant brièvement la tête. J’espérais vivement ne pas avoir rougies. Je lui demandai.
- Pourquoi m’avoir amenée ici ?
- Tu te plains, ma belle ? Tu étais seule, nue, sur une plage bondée de pirates pas tous très bien attentionnés. Tu es la créature la plus jolie que je n’ai jamais vue. Qui sait ce qui aurait put d’arriver… !
- Moi ? Me plaindre ? De me retrouver ici avec toi… pas du tout… loin de là… avais-je répondus après avoir sourit.
Mon Dieu… ! Le sourire qu’il me fit à ce moment là… ! Il était vraiment merveilleux. Si j’avais été un iceberg, j’aurais fondus littéralement sur place. Il se leva, prit une chaise qu’il mit à l’envers en face de moi, appuyant son torse et ses bras contre le dossier. Il planta doucement son crochet dans le bois de la chaise et me regarda en penchant la tête.
- Je propose de t’apprendre à marcher. Je serrais ravis que tu reste plus longtemps à bord de mon bateau, le Jolly Roger.
A ces mots, ma vie bascula. Mon rêve se réalisait. J’avais des étoiles dans les yeux. Je devais sourire bêtement quand il me proposa de naviguer avec lui et son équipage sur son bateau. Je bredouillai.
- Tu… tu ferrais vraiment ça ? Mais pourquoi ?
- Un accès de charité, peut-être…
Il sourit. Je ris légèrement ; je ne pouvais pas m’en empêcher. Je lui souris en hochant légèrement la tête, comme pour faire une petite révérence.
- Dans ce cas, je serrais ravie de rester avec toi sur le Jolly Roger.
J’essayais de garder mon calme. Mais vous ne pouvez pas savoir à quel point j’étais heureuse. Pire qu’une folle… Peut-être même que j’étais LA femme la plus heureuse du monde. Voyager, l’aventure avec lui… Ce dont je rêvais depuis que je l’avais vu pour la première fois. Je me souviendrais toute ma longue et rude vie la première fois que j’ai vus Capitaine Jones. J’étais dans une eau très proche de la surface et j’entendais des bruits, plus exactement des chants. Je vis l’ombre d’un bateau au dessus de moi et je suis montée pour voir plus près. Je l’ai vu. Il riait avec un homme qui portait un bonnet rouge. Je ne pouvais plus détacher mes yeux de lui. Depuis ce jour, le sourire et les yeux de ce beau pirate restèrent gravés dans ma tête.
On prit le large, son équipage, lui et moi. Killian avait insisté pour que je ne dorme pas dans la cale avec les autres pirates. Il dormait donc lui, là-bas et me laissait sa cabine. Les jours passèrent. Voyager sur le Roger était une pure merveille. J’étais ainsi proche de mon environnement naturel et du monde auquel j’avais toujours voulus appartenir. Un soir, bien des mois plus tard, comme souvent, les hommes faisaient la fête sur le pont supérieur. Ils buvaient, chantaient, riaient. Moi, j’étais au bord du bateau. Assise, les jambes repliées sur moi-même. Ce que personne ne savait sur ce bateau, était que ce jour là, c’était mon anniversaire. Le premier sans ma famille. Je contemplais donc la mer avec adoration ? C’est vrai que ça me manquait un peu… Killian vint et s’assit à cote de moi. On resta assit sans rien dire pendant une demie heure. Quand les pirates partirent se coucher, Killian le regarda et me demanda enfin.
- Ca ne va pas, ma belle ?
- Si si…
Il se rapprocha de moi.
- Tu peux tout me dire, Ariel. Mal du pays ?
- Pas que.
Je soupirai.
- Premier anniversaire sans ma famille.
Il me regarda longuement avant de me serrer fort dans ses bras.
- Alors… Joyeux anniversaire, ma belle.
Il prit ma main et l’embrassa.
- Quel cadeau te ferrait plaisir ?
Je le regardai et souris légèrement. J’avais bien une idée en tête mais je n’allais pas faire ça. Il me regarda et caressa ma joue avec son pouce. J’eus un très long frisson.
- Je… ne sais pas.
Il garda sa main sur ma joue.
- Qu’est-ce que tu dis de ça… ?
Il m’embrassa. J’écarquillai les yeux de surprise avant d’ouvrir mes lèvres sur les siennes. Il recommença, encore et encore… C’était comme un feu d’artifice. C’était merveilleux. C’était un simple baiser mais c’était formidable. Je mis mes mains sur ses joues en répondant à chaque fois à ses baisers. Il me regarda et me porta dans la cabine. Je ne le lâchais pas des yeux. Je savais ce qu’on s’apprêtait à faire. Mais je ne savais pas comment on faisait vraiment ça. Je savais que ça consister à nous unir, que ça consistait à ne former plus qu’un avec la personne que l’on aimait. Je savais que ça faisait du bien. Je savais que c’était magique. Mais je n’avais pas bien compris comment on faisait. Quand on m’en avait parlé, je n’avais pas non plus trop cherché à comprendre. On passa la nuit ensemble, on fit donc l’amour toute la nuit. Il m’avait donc expliqué chaque baiser, chaque caresses qu’il me donnait. Je m’étais endormi contre lui au bout d’un moment.
Le lendemain, je me réveillais dans ses bras. La tête contre son torse, nous étions encore nus tous les deux avec les draps au dessus de nous. Je fermai les yeux pour profiter encore de cet instant merveilleux. Je le sentis respirer un peu plus fort. Je rouvris mes yeux et levai lentement la tête vers lui. Il était réveillé lui aussi. Il caressa ma joue et me sourit.
- Hey, ma belle.
Je souris doucement et posa mon front contre le sien.
- Hey, Capitaine Crochet…
- Bien dormis ? me demanda t-il en serrant ses bras autour de moi.
- Dans tes bras ? Bien sur...
Il sourit et embrassa mon front. J’avais l’impression de flotter dans ses bras. Je me blottis dans ses bras en souriant. On vit un rayon de soleil à la porte. Il me regarda et caressa mon épaule.
- Je dois me rhabiller et sortir avant qu’ils remarquent mon absence. Murmura t-il.
- Tu ne veux pas qu’ils le sachent ?
- Si. Mais pas comme ça.
Il se leva, se rhabilla. Je restai allongée dans le lit et ne le lâchait pas des yeux. Quand il eut finit de se rhabiller, il s’accroupit devant moi. Il m’embrassa légèrement.
- Rhabilles toi aussi, rejoins moi à la barre et embrasses moi.
Il me fit un clin d’œil et sortit. Je mis ma tête dans son oreiller avant de murmurer.
- Je t’aime, Killian.
Je regardai longuement la porte par laquelle il était sortit. Puis, je me levai lentement. M’habilla de quelques habits que Killian m’avait donnés. Des habits de pirates mais restant toujours féminine. Une chemise bouffante blanche avec un pantalon en cuir marron, c’était même un peu plus un legging. Une grosse ceinture marron marquait ma taille. De grandes bottes à talons et à lassé marrons accompagnait le tout. Je sortis de la cabine et regardait autour de moi. L’équipage me fit tous un signe de main et je leur fis de même. Je regardai Killian. Il était près de la barre. Mais tout le monde était autour. Le but était que je l’embrasse pour que tout le monde comprenne ? Je ne savais pas trop si c’était ça. Quand il me vit, il sourit. Je m’avançai alors vers lui et l’embrassa doucement. Tous les autres pirates sifflèrent. Je baissai brièvement la tête en souriant, de gêne. Tout le monde nous regardait. Killian serra ma taille, je frissonnai à ce moment là. Il sourit et regarda son équipage.
- Donc… je pense que vous avez compris.
L’équipage siffla encore. Je ne savais plus où me mettre.
Trois ans plus tard.
Je commençais à me lasser. Je n’y arrivais pas. Je ne tenais pas. Je n’étais pas forte. J’étais plutôt faible, même. Je n’avais pas l’esprit aventurier. Je n’y arrivais plus, j’avais régulièrement faim. J’étais fatiguée. Après tout, j’avais fuis la mer… Alors naviguer dessus… Mais jamais Killian ne voudrait quitter la mer. Il était pirate et voulait le rester… Mais je ne voulais pas le quitter… Je savais qu’il ne donnait que très rarement sa confiance à une femme. Et il me l’avait donné. Mais j’étais avec lui sans l’être. Il ne voulait pas les mêmes choses que moi. Je voulais des enfants, une famille… Mais surtout un mariage. Un beau mariage. Mais lui ne voulait pas se marier. Il ne voulait pas se marier car il n’aimait pas faire des promesses. Donc… il ne voulait pas me promettre fidélité et amour sur le long terme. J’en eus marre.
Un jour, je partis. Je lui laissai un mot. Mais je n’avais pas eus le courage de le lui dire en face. On s’était arrêté à un port. Les hommes allèrent tous dans un bar. J’avais dis à Killian que je l’attendrais sur le Roger. Mais je pris mes affaires et partis en lui laissant un mot. J’avais pleuré. On le voyait sur le papier. Les gouttelettes de mes larmes s’étaient posées sur le parchemin. Ce qui avait fait couler quelque peu l’encre bleue du papier. Je pleurais à chaudes larmes en sortant. Je ne le reverrais peut-être plus jamais de ma vie. Je pris une chambre dans un hôtel. Je m’assis sur le lit. Je réfléchis toute la nuit. Je m’étais tellement battue pour lui… Pour le voir… Pour être dans ses bras… Je l’aimais comme une folle. Puis, me vint à l’esprit… Qu’est-ce que j’allais faire sans lui ? Qu’est-ce que j’allais faire sans l’homme qui faisait battre mon cœur, sans l’homme qui m’aidait à respirer ? Sans celui qui m’avait recueillis, qui m’avait apprit à marcher, apprit à vivre dans ce monde. Tout en pleurant, je me rendais compte de la bêtise que je venais de faire. Je sortis. Il faisait jour. Je courus vers le port. J’éclatai en sanglots en voyant que le Jolly Roger était partit. Je m’assis sur le sol et mit ma tête dans mes mains en pleurant. Je l’avais perdu. Je l’avais définitivement perdu. Et tout cela c’était de ma faute. J’avais le visage tout rouge à force de pleurer. Je finis même par crier en battant des jambes. Ma vie était finie. Complètement finie. Je n’aurais jamais dus partir sur ce coup de tête.
Depuis ce jour, je suis à la recherche de Killian Jones. Je le cherche partout. J’ai besoin de lui. La malédiction à Storybrooke a été brisée. Je me souviens donc maintenant de lui. Voilà pourquoi je vous ai raconté mon histoire. Pour que vous vous manifestiez si vous entendez parler du Captain Hook. Si vous entendez parler de mon amour…
Le départ d’Ariel du point de vue du Capitaine Crochet.
Je rentrais sur mon bateau avec tous les hommes. On riait. Cela faisait trois ans que j’étais heureux. Cela faisait trois ans que j’étais avec Ariel et donc trois ans que j’étais heureux. Elle était merveilleuse. Elle était la femme de ma vie. Je ne le lui disais pas souvent mais elle me rendait aussi heureux que je ne l’avais jamais été. Avant Ariel, je n’avais donné qu’une fois ma confiance à une femme. Je l’avais donné à Milah. Elle avait été mon premier amour mais tuée par son ex mari. Rumplestilskin. Il avait arraché son cœur et l’avait écrasé dans sa main. Sous mes yeux, le cœur de Milah est devenu poussière. Sous mes yeux, Milah est morte dans d’atroces souffrances. C’était lui aussi qui m’avait coupé la main. Juste après avoir tué Milah. Mais depuis qu’Ariel était là, j’avais eus un rayon de soleil dans ma vie, dans mon cœur.
On arrivait sur le Roger. Il faisait nuit. Je supposais qu’Ariel était partie se coucher. J’allais dans la cabine en souriant à l’idée de la voir. Elle n’était pas là. Dans un premier temps, je me dis qu’elle avait peut-être été faire un tour en ville. Je m’assis sur le lit et l’attendis. Dix minutes. Puis, sous les draps, je remarquai un mot.
« Killian,
Je te demande pardon. Je t’aime, vraiment. Mais je ne peux pas vivre comme ça. Je n’en peux plus. Je sais que la piraterie reste ce qui t’est le plus cher et que tu ne quitteras pas le Roger pour moi. Je sais aussi que tu ne veux pas la même vie que moi. Je n’arrive pas à tenir le rythme. J’ai toujours faim. J’ai toujours soif. Je suis très fatiguée…
Tu vas t’en sortir sans moi. Oublies moi. Mais saches que je ne t’oublierais pas. Tu as été la personne qui m’a le plus aidé dans l’arrivé ici. Tu auras toujours ta place dans mon cœur. Je t’aimerais à tout jamais Killian.
Ariel. »
Je sentis le monde autour de moi s’effondrer. Elle était partie. Je plaquai mes mains à mon visage en ne pouvant m’empêcher de verser une larme. J’essuyais très vite la larme. Elle m’avait laissé. Je pris une chaise et l’envoya valser à travers la pièce. Elle se brisa. Elle m’avait fait croire en elle. Je donnai un coup de crochet dans le bois du mur et le retira avec difficulté. Je décidai de ne plus jamais donner ma confiance à une femme. Plus JAMAIS. Je pris une chaussure qu’elle avait oubliée. Je sortis et la balança à l’eau. J’hurlai à l’équipage.
- ON MET LES VOILES !! ON REPREND LA MER MAINTENANT !!
Je rentrai dans ma cabine en claquant la porte.
PS : les droits ne m'appartiennent pas pour les personnages et leurs caractéristiques. Mais je ne souhaite pas voir de reproduction de l'histoire que j'ai imaginée entre les deux protagonistes.